Avec ce spectacle Bernard Cogniaux, sous la direction de Marie-Paule Kumps, retrouve et vous fait (re)découvrir les histoires poético-humoristico-fantaisistes de Rudyard Kipling !
Ces histoires débridées, pleines d’humour et de fantaisie donnent libre cours à l’imagination la plus folle. Elles nous emmènent dans un monde absurde, dans des « temps très anciens » fictifs, quand les animaux parlaient.
Les « Histoires comme ça » nous invitent à poser un regard poétique sur les choses ; SI les choses étaient différentes… et à partir de là, un monde sans limite s’ouvre à nous, un monde plein de liberté et de fantaisie, un peu à la manière « Alice au Pays des Merveilles » de Lewis Carroll, ou, aujourd’hui, à la Claude Ponti.
Dans ce bestiaire fantastique, la Baleine mange le Nautonier et cela lui cause de singuliers problèmes, l’Enfant d’Éléphant pose trop de questions, le gibier joue à cache-cache avec le Léopard ou encore, le Rhinocéros fait preuve de beaucoup de grossièreté envers le Parsi et s’en voit bien puni ! (on y parle aussi de l’orgueil du Petit Père Kangourou et de la stupidité du Jaguar Moucheté…).
Et c’est à la suite de ces aventures que ces animaux, qui en ces temps très anciens ne ressemblaient pas du tout à ceux que nous connaissons, prirent l’aspect qui est le leur aujourd’hui !!
Genre : Comédie, Théâtre
Auteur : Rudyard Kipling
Distribution : Bernard Cogniaux
Production : Compagnie du Chaos, Théâtre de la place des Martyrs
Mise en scène : Marie Paule Kumps
Durée : 90
Saisons
2012-2013
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Lu dans la presse
Avec ce spectacle Bernard Cogniaux, sous la direction de Marie-Paule Kumps, retrouve et vous fait (re)découvrir les histoires poético-humoristico-fantaisistes de Rudyard Kipling !
En 1986, Bernard Cogniaux, jeune comédien enthousiaste, porte à la scène les « Histoires comme ça » de Kipling, textes qui ont bercé son enfance (qui n’était pas si éloignée que ça à l’époque…).
Et voilà que, en 2010, l’enthousiasme à peine émoussé et bien que son enfance se soit éloignée de lui (à moins que ce soit lui qui se soit éloigné de son enfance), il remet ça !
La gourmandise des mots est toujours là. Le goût pour la fantaisie aussi. Et le plaisir de raconter est intact ! Surtout de telles histoires.
Cette fois, c’est Marie-Paule Kumps (sa complice de travail depuis … oh , au moins ça !) qui le guidera dans la mise en scène d’un spectacle fantaisiste mais rigoureux !
Car : « Prenez tout au sérieux, à l’exception de vous-même » (Rudyard Kipling)
Texte extrait du programme du Théâtre de la place des Martyrs
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Ce spectacle a une histoire qui commence dans les années 60, quand mon père nous lisait, à ma sœur et moi, les « Histoires comme ça ». Plus tard, dans les années 80, il y eut le choix d’un de ces textes pour un examen de déclamation au conservatoire. De là est née l’idée de faire un spectacle qui fut créé en 1986.
Pourquoi le recréer aujourd’hui (peut-on parler de reprise après 24 ans) ?
Tout simplement parce que le plaisir est toujours là et qu’il ne faut pas bouder son plaisir. Plaisir pour moi : j’aime toujours autant l’humour, la tendresse et la fantaisie de ces textes. De plus, s’y superposent des souvenirs d’enfance, de mes études au conservatoire et des années où je débutais comme comédien. Et aussi des souvenirs de mes enfants quand ils étaient… enfants.
Plaisir pour le autres : parce que nous avons tous eu 5 ans et parce que je ne connais pas d’adulte qui n’aime pas qu’on lui raconte des histoires. (Si vous en connaissez un, attrapez-le et amenez-le, nous allons tenter de le soigner !).
J’ai eu envie de mettre un peu de musique dans le spectacle, parce que Kipling a une écriture très musicale.<br
Et j’ai eu envie de faire entendre un peu de la VO du texte en introduisant quelques poèmes qu’il a écrits pour accompagner les histoires.
J’ai aussi eu envie de collaborer avec Marie-Paule Kumps (et ce n’est pas notre première, ni notre dernière collaboration…) qui a ajouté son grain de sel
– et de raisin – à l’ensemble.
Je vous souhaite une très bonne soirée.
Bernard Cogniaux