Coup de Cœur – Avignon 08 du Théâtre Le Public
où il sera accueilli du 06 Janvier au 13 Février 2010
Disponible en Exclusivité pour la Belgique, la Suisse et le Luxembourg
J’ai choisi un voyage en pays de Calaferte à travers cette nostalgie de la dérision qui caractérise ses personnages. Si on se moque du constat de la réalité, c’est pour mieux éprouver une vraie tendresse pour l’humain. C’est drôle, parfois tragique, quelquefois cynique, souvent comique, comme la vie quoi ! Mais le comique ici, « est celui qui, en même temps qu’il nous divertit, au fond nous émeut. »
Alain Timar
Créé au Théâtre des Halles (Avignon) en mai 2008.
33 représentations.
Genre : Comédie, Théâtre
Auteur : Louis Calaferte
Distribution : Yaël Elhadad, Nicolas Gény, Roland Pichaud
Production : Théâtre des Halles, avec l’aide du Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC PACA), du Conseil Régional PACA, du Conseil Général de Vaucluse, de la Ville d’Avignon
Mise en scène : Alain Timar
Costumes : Elizabeth Baumard
Photographe : Manuel Pascual et Morgane Lechevrel
Lumière, son et vidéo : Hugues LeChevrel
Durée : 90
Saisons
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Lu dans la presse
« Alain Timar, dans ‘Je veux qu’on me parle’, a choisi des extraits, des phrases, des scènes de l’œuvre génialement furibonde de Louis Calaferte. Il en a fait un cirque tumultueux, qui est le cirque de l’humanité. Les trois acteurs, tous formidables, mettent le public dans leurs farces, leurs confidences, leurs explosions et leurs dépressions. Rien ne nous est appris sur la vie et l’œuvre de Calaferte, mais son rire, chaleureusement désespéré, nous est transmis de superbe façon. »
Gilles Costaz – Les Echos.fr
« Cela donne des saynètes extrêmement drôles, mais également d’une aigreur, d’une lucidité, parfois d’une méchanceté tout à fait extraordinaires. Tout ça est mené tambour battant par les trois comédiens qui font marcher la machine Calaferte…Ils sont tous les trois tout à fait extraordinaires. Il y a une véritable cohérence, une homogénéité de l’ensemble de la représentation qui, personnellement, me met en joie ! »
Jean-Pierre Han – Frictions – JT du Off
« Alain Timar nous entraîne dans un très beau voyage à partir d’un montage de textes de Louis Calaferte…Je voudrais citer les trois comédiens qui vont vous embarquer dans une aventure fantastique. »
France-Inter – Le masque et la plume
« Alain Timar, artiste qui n’en finit pas de devenir jeune (comme disait Picasso de lui-même), s’est entouré de comédiens épatants. Une piste ovale de faux gazon, quelques rideaux rouges à pompons dorés fatigués, deux poupées Barbie et un Ken…Et tourne manège dans un cirque joyeusement déglingué ! »
Danièle Carraz – La Provence
« Comme des numéros, les saynètes se suivent : la vie devient alors un grand cirque. Et comme les clowns blancs, on ne sait si l’on doit rire des situations ou si l’on doit en pleurer. Le verbe est caustique et les silences dans les discours, plus acerbes encore…Alain Timar réveille nos consciences sans qu’on y prenne garde…Les phrases fusent, grattent nos épidermes, glissent derrière le rideau de scène et reviennent avec les artistes appelés par Monsieur Loyal. »
Bruno Alberro – Vaucluse Matin
« Une mise en scène ou plutôt une mise en piste car nous sommes bien, en effet, au cirque, en forme de mises en abyme successives, comme des poupées russes, dont il faut souligner une fois de plus l’intelligence, la subtilité et le dynamisme. »
Henri Lépine – La Marseillaise
« Les trois comédiens mutins prennent du plaisir sur scène, et nous aussi ! Leurs personnages cyniques, drôles, désespérés se complètent. Alain Timar invite ici le théâtre forain dans une subtile mise en scène pour interroger le monde. Ca décape, ça ébranle. On ne sort pas indemne du voyage. »
Camille Bosshardt – L’Hebdo Vaucluse
« Les trois comédiens font plutôt dans l’excellence ! Leur performance doit être saluée sans la moindre réserve. Drolatique et cruel, hilarant et tragique, tout cela en même temps, ce spectacle a sans conteste les vertus décapantes du meilleur humour noir. »
Rue du Théâtre
« La galerie de portraits à laquelle nous convie le magicien Timar prend naissance à travers l’œuvre du romancier et poète Louis Calaferte…Comme la vie et ses paradoxes, à la gravité de la situation, la mise en scène répond par la drôlerie et le burlesque. Les numéros s’enchaînent parfaitement les uns aux autres avec toujours le même fil conducteur : l’humain. »
Laurent Bourbousson – Tadorne
« Enfin, je vous recommande de passer au Théâtre des Halles où Alain Timar a réussi un exceptionnel grand chelem capable de vous mobiliser du matin à tard dans la nuit…Vous pourrez assister à ‘Je veux qu’on me parle’ joué par un trio heureusement délirant. Il s’agit d’une sélection brillante de testes de Calaferte… »
Claude Chanaud – Encres Vagabondes