Nouveau délire verbal de Bruno Coppens ! Une zygomaticothérapie à la sauce belge !
Un duel entre un patient qui entend des voix et son souffleur de théâtre, Cap’tain Mémo, qui poussera son adversaire à étaler ses sentiments “La fille n’est pas un long flirt tranquille”, sa mauvaise foi “Clo-Clo et Brel étaient grands amis!”, ses angoisses “Comment rentrer à la raison?” et l’entraînera vers une chute … dans un trou de mémoire!
Une séance psycho-très-rapide qui dérape en cri primal, slam, chanson, hommage à Devos, menée tambour battant par le talentueux “verbo-moteur” belge, chroniqueur radio en Suisse, Belgique et qui participa au Fou du Roi (France Inter).
Créé au Festival de Théâtre de Spa le 18 août 2007.
122 représentations.
Genre : Humour, Théâtre
Auteur : Bruno Coppens
Distribution : Bruno Coppens
Production : Atelier Théâtre Jean Vilar, le Festival de Théâtre de Spa, le service langue française Wallonie-Bruxelles et la sprl Exquis Mots
Co-Production :
Mise en scène : Eric De Staercke
Lumières : Benoît Lavalard
Costumes : Lili
Décors et costumes : Lili et Pierre Legrand
Photographe : Véronique Vercheval et Jim Sumkay (photo NB)
Durée : 90
Saisons
2010-2011
En savoir plus
Lu dans la presse
« Ma Terre Happy ! » :
Catherine Makereel – le Mad/Le Soir, 1er août 2007.
« En hommage à Raymond Devos, maître de l’absurde, et au Québécois Marc Favreau, alias Sol, deux amoureux des mots qui ont beaucoup influencé Bruno Coppens, cette Terre happy opte définitivement pour le remède de l’humour. »
Philippe Tirard –La Libre Belgique, 21 août 2007.
« Une solide heure et demie de pyrotechnie langagière. »
Sébastien Yernaux – La Dernière Heure, 21 août 2007.
« L’humour noir côtoie le tragique dans une déferlante de phrases et d’images toutes plus parlantes les unes que les autres »
Lire les commentaires
« Eric De Staercke m’a concocté une mise en scène fluide, pétillante, inventive, en créant un couple infernal : un « patient » et son souffleur de théâtre. Ce souffleur, est-ce mon Gimini Briquet? Ma conscience? Mon alter ego? Mon scyzofrère? Je ne suis pas sûr de le savoir moi-même à l’heure actuelle …
Mais en fin de tournée, j’aurai mis un nom sur cette voix qui m’accompagne et me harcèle tout au long du spectacle!
Le patient sur scène est couché sur un divan et s’il vient, c’est parce qu’il entend des voix. Oui, je suis un peu Jeanne d’Arc version 2007, le bûcher en moins …Comme m’a dit Eric « J’espère que tu ne guériras jamais, comme cela, tu devras jouer « Ma Terre Happy! » très longtemps … »
Bruno Coppens
Bruxelles, le 23 août 2007